jeudi 15 mai 2014

Tagged Under:

les cocillages marins

By: Dr Vétérinaire On: 08:33
  • Share The Gag

  • 1- La position sur l'arbre de l'évolution
    Apparus il y a près de 600 millions d'années (au Précambrien). Cet embranchement est le deuxième en terme de diversité : plus de 100 000 espèces vivantes, majoritairement marines. Des traces fossiles abondantes (grâce à la coquille) A partir d'un ancêtre commun, cet embranchement a developpé des formes très diverses. La datation des fossiles permet de fixer cette différentiation au Cambrien.
    -  Bivalves : 530 millions d'années
    -  Gastéropodes : 510 millions d'années
    -  Céphalopodes : 505 millions d'années
    2 - Un embranchement hétérogène ?
    Animaux à corps mou qui sécrète une coquille grandissant avec l'animal. Cette coquille peut être interne, voire absente chez certains groupes. 99% des espèces vivantes sont des bivalves ou des gastéropodes. (La Malacologie est l'étude des mollusques)
    Sur les 7/8 classes de mollusques, 5 sont exclusivement marines, quelques bivalves vivent en eau douces et saumâtes et seuls les gastéropodes ont réussis à s'adapter à la vie terrestre.
    Les 7/8 classes : par ordre du nombre d'espèces qui y sont attachées.
    -  1- Gastéropodes
    -  2- Bivalves ou lamellibranches
    -  3- Céphalopodes (sèche, pieuvre)
    -  4- Chitons (polyplacophores)
    -  5- Solénogastres
    -  6- Caudofovéates
    -  7- Monoplacophores
    L'archétype
    Ce portrait robot est sensé rassembler les caractères les plus primitifs rencontrés dans toutes les classes. Cet archétype peut se décrire sommairement comme un animal à large pied surmonté d'une coquille sans torsion, la coquille protégeant la masse viscérale. Cet archétype est organisé selon une symétrie bilatérale (dans le sens longitudinal).
    Points communs
    -  Un pied ventral musculeux qui sert à la locomotion
    -  Un manteau qui enveloppe les viscères et sécrète la coquille (elle grandit durant toute la vie)
    -  La présence d'une coquille au stade larvaire
    -  Une radula (langue rapeuse) sauf les bivalves qui sont des filtreurs La grande diversité des formes est le résultat de modifications au niveau du manteau, de la coquille, de la masse viscérale et du pied. Chez certains nudibranches le manteau permet de nager (danseuse espagnole) Chez les céphalopodes, le manteau se termine par des tentacules avec des ventouses. La coquille de l'archétipe est tordue chez les gastéropodes.
    Les organes
    Système digestif très simple et plus ou moins rectiligne : une bouche, un estomac, un intestin et un anus qui ouvre sur la cavité paléale. Un système sensoriel assez developpé relié par le système nerveux : capacité de réaction. Certains bivalves ont des multudes d'yeux situés en bord de manteau. Les céphalopodes ont deux yeux, les plus évolués de tous les invertébrés. Chez les céphalopodes, le système nerveux est trés développés, avec notament un cerveau.
    Modes de vie
    -  Alimentation : Ils sont brouteurs (citons, gastéropodes), filtreurs (bivalves) ou prédateurs (gastéropodes, céphalopodes)
    -  Reproduction : Reproduction sexué. Hermaphrodisme pour les gastéropodes, pour les autres, en général les sexes sont séparés. Fécondation externe chez les bivalves et internes pour les autres classes. Un des tentacules des céphalopodes sert d'organe reproducteur et vient déposer les gamètes dans la cavité de la femelle.
    3 - Les différents genres
    1- Gastéropodes (estomac sur pied+radula) prosobranche
    Caractéristiques des prosobranches Trois ordres :
    -  Archéogastéropodes (herbivores) ex. patelles, ormeaux, bigorneaux, pleurotomaires
    -  Megastéropodes (herbivores ou carnivores) ex. littorines, crépidules, porcelaines, strombes.
    -  Néogastéropodes (carnivores : prédateurs ou nécrophages) ex. murex, cônes Ils sont tous benthiques, libres, rampants.
    La cavité palléale Ramené à l'avant du corps, au dessus de la tête, contient l'osphardium, la ou les branchies et reçoit les déchets du tubes digestif et des reins. Le sens de la circulation de l'eau évite aux déchets d'atteindre les branchies. L'évacuation de l'eau se fait différement selon le degré d'évolution.
    -  chez les archéogastéropodes (symétrie des branchies) : évacuation en l'arrière de la cavité palléale, par une série de trous dans la coquille (ormeaux), par un trou dorsal unique (diodora) ou par une fente (pleurotomaire)
    -  chez lez méso et néogastéropodes (unique branchie gauche) : évacuation par une circulation d'erau de la gauche vers la droite.
    La coquille
    Coquille unique plus ou moins spiralée qui subit une torsion (place/encombrement) au stade larvaire. Lors de la tension, la cavité palléale et les organes qu'elle abrite, situé à l'arrière chez l'archétype, passe à l'avant de l'animal : on parle alors de prosobranches. La torsion s'accompagne, le plus souvent, d'un enroulement de la coquille, ce qui permet d'allonger l'espace disponible à l'intérieur de la coquille, sans pour autant que la coquille soit trop encombrante en longueur et aussi de mieux répartir le poids de la coquille le long du corps de l'animal.
    La locomotion
    Le principal organe locomoteur est le pied. Les prosobranches se déplacent par reptation sur une sole pédieuse large et plate (contraction des muscles pédieux par ondes successives). La coquille peut participer au déplacement : les nasses l'agitent pour accélérer leur reptation. Les strombes utilisent leur opercule pour faire des sauts.
    Alimentation
    Il existe une très grande variété de régime alimentaire, la radula (unique critère d'identification de l'espèce) étant adaptée par le nombre et la forme des dents à ce régime alimentaire. l'évolution des radulas s'est faite dans le sens d'une diminution du nombre de dents. Les pleurotomaires ont jusqu'à 219 dents, les porcelaines en ont 7, les toxoglosses n'en ont plus qu'une. Ces derniers (cônidés, turridés, térébridés et cancellaridés) ont en commun la présence d'une glande venimeuse, de dents radulaires en harpon leur permettant de paralyser leurs proies.
    Reproduction
    -  Animaux gonochoriques, c'est à dire un sexe par individu, d'où reproduction sexuée.
    -  Hermaphrodisme successif (protérandique le plus souvent) chez de nombreux prosobranches. Exemple chez la crépidule (mâle d'abord puis femelle) Pour les archéogastéropodes : les gamètes sont libérés dans le milieu donc fécondation externe. Les plus évolués des prosobranches ont une fécondation interne avec dépot de pontes élaborées. Dans le cas particulier des espèces aphalliques (Cerithes, turitelles, janthines,...) il n'y a pas d'accouplement mais la féconadation reste interne, assurée par des spermatozeugma qui rentrent dans la cavité palléale de la femelle avec le courant d'eau inhalant.
    Prédateurs
    Etoiles de mer, poisson, crustacés, certains prosobranches (cones, natices), l'homme.
    Utilisation par l'homme
    Les coquillages marins ont toujours eu un rôle alimentaire (pêche à pieds ou commerciale) mais aussi religieux (Chank sacré de l'Inde), utilitaire (bouton de vêtement)...
    Danger du milieu marin
    Parmi 300 espèces de cônes, 20 possèdent un venin dangereux pour l'homme, et une dizaine sont mortels.Ils sont tropicaux, ce sont les conus geographus, conus tulipa, conus textile, conus straitus. Pour les indentifier : en vue ventrale, l'ouverture va en s'élargissant de la spire (l'arrière) vers l'avant pour les cônes « géographe et « tulipe ». Tous les autres cônes dangereux et/ou mortels présentent un dessin en forme de tente. Cette menace est à prendre très au sérieux.
    2- Bivalves ou lamellibranches
    Coquille en deux parties, s'articulant sur une charnière par un ligament et des muscles. Animaux filtreurs. La respiration est assurée par des lamelles branchiales, tel que l'huître et la moule. En majorité fixés à l'age adultes : le bénitier, la moule, mais pas la coquille St Jacques par exemple. Larves libres avant de se fixer usur le substrat. Prédateurs : étoiles de mer, céphalopodes, mamifères...
    3- Céphalopodes
    Des prédateurs très mobiles :
    -  coquille allégée interne (os de seiche, plume de calamar) ou complètemet inexistante chez le poulpe, seule le nautile possède encore une coquille externe
    -  un manteau prolongé par des bras : 8 chez les poulpes (Octopode), alors que les seiches et les calmars en possèdent 8 + 2 tentacules (Décapodes).
    -  la bouche possède une radula et un bec qui peut être connecté à une poche à venin.
    -  une poche à encre, situé au dessus de la cavité palléale.
    -  trois cœur : un cœur central et deux décentralisés, un au niveau de chaque branchie.
    -  un système circulatoire et nerveux évolué (les ganglions nerveux sont centralisés dans un cerveau)
    -  des facultés mimétiquesextraordinaires. Les céphalopodes ont une durée de vie courte, un seule acte de reproduction (vit 1 à 3 ans) Se propulse en expulsant de l'eau par un siphon.
    Le Poulpe commun (Octopus vulgaris - Cuvier, 1797) appartient à la famille des Octopodidés. C'est un mollusque marin, carnivore et nageur appartenant à la classe des Céphalopodes (du grec kephalê, tète et pous, podos, pied). C'est une des 9 espèces présentes en Méditerranée. Ses bras réunis à la base par une membrane sont garnis de deux rangées de ventouses à leur face inférieure, ce qui le distingue du Poulpe musqué (Lamarck, 1799) qui ne possède qu'une seule rangée de ventouses. Doué de mimétisme, la coloration de son corps est changeante en fonction de son humeur, de l'environnement et des circonstances, passant du rouge au brun avec des nuances jaunes, bleues ou grises. Ses grands yeux placés sur le côté de la tête globuleuse possèdent un cristallin très performant. Il possède aussi un cerveau très évolué et fait preuve d'une certaine forme d'intelligence et aussi d'une grande curiosité qui cause parfois sa perte.
    4- Chitons
    Animaux collés aux rochers. Vit sous les pierres exclusivement. Corps recouvert de huit plaques. Animaux brouteurs.
    5- Scaphopodes
    5- Solénogastres
    6- Caudofovéates
    7- Monoplacophores

    Description: 1- La position sur l'arbre de l'évolution Apparus il y a près de 600 millions d'années (au Précambrien). Cet embranchement est le deuxième en terme de diversité : plus de 100 000 espèces vivantes, majoritairement marines. Des traces fossiles abondantes (grâce à la coquille) A partir d'un ancêtre commun, cet embranchement a developpé des formes très diverses. La datation des fossiles permet de fixer cette différentiation au Cambrien. - Bivalves : 530 millions d'années - Gastéropodes : 510 millions d'années - Céphalopodes : 505 millions d'années 2 - Un embranchement hétérogène ? Animaux à corps mou qui sécrète une coquille grandissant avec l'animal. Cette coquille peut être interne, voire absente chez certains groupes. 99% des espèces vivantes sont des bivalves ou des gastéropodes. (La Malacologie est l'étude des mollusques) Sur les 7/8 classes de mollusques, 5 sont exclusivement marines, quelques bivalves vivent en eau douces et saumâtes et seuls les gastéropodes ont réussis à s'adapter à la vie terrestre. Les 7/8 classes : par ordre du nombre d'espèces qui y sont attachées. - 1- Gastéropodes - 2- Bivalves ou lamellibranches - 3- Céphalopodes (sèche, pieuvre) - 4- Chitons (polyplacophores) - 5- Solénogastres - 6- Caudofovéates - 7- Monoplacophores L'archétype Ce portrait robot est sensé rassembler les caractères les plus primitifs rencontrés dans toutes les classes. Cet archétype peut se décrire sommairement comme un animal à large pied surmonté d'une coquille sans torsion, la coquille protégeant la masse viscérale. Cet archétype est organisé selon une symétrie bilatérale (dans le sens longitudinal). Points communs - Un pied ventral musculeux qui sert à la locomotion - Un manteau qui enveloppe les viscères et sécrète la coquille (elle grandit durant toute la vie) - La présence d'une coquille au stade larvaire - Une radula (langue rapeuse) sauf les bivalves qui sont des filtreurs La grande diversité des formes est le résultat de modifications au niveau du manteau, de la coquille, de la masse viscérale et du pied. Chez certains nudibranches le manteau permet de nager (danseuse espagnole) Chez les céphalopodes, le manteau se termine par des tentacules avec des ventouses. La coquille de l'archétipe est tordue chez les gastéropodes. Les organes Système digestif très simple et plus ou moins rectiligne : une bouche, un estomac, un intestin et un anus qui ouvre sur la cavité paléale. Un système sensoriel assez developpé relié par le système nerveux : capacité de réaction. Certains bivalves ont des multudes d'yeux situés en bord de manteau. Les céphalopodes ont deux yeux, les plus évolués de tous les invertébrés. Chez les céphalopodes, le système nerveux est trés développés, avec notament un cerveau. Modes de vie - Alimentation : Ils sont brouteurs (citons, gastéropodes), filtreurs (bivalves) ou prédateurs (gastéropodes, céphalopodes) - Reproduction : Reproduction sexué. Hermaphrodisme pour les gastéropodes, pour les autres, en général les sexes sont séparés. Fécondation externe chez les bivalves et internes pour les autres classes. Un des tentacules des céphalopodes sert d'organe reproducteur et vient déposer les gamètes dans la cavité de la femelle. 3 - Les différents genres 1- Gastéropodes (estomac sur pied+radula) prosobranche Caractéristiques des prosobranches Trois ordres : - Archéogastéropodes (herbivores) ex. patelles, ormeaux, bigorneaux, pleurotomaires - Megastéropodes (herbivores ou carnivores) ex. littorines, crépidules, porcelaines, strombes. - Néogastéropodes (carnivores : prédateurs ou nécrophages) ex. murex, cônes Ils sont tous benthiques, libres, rampants. La cavité palléale Ramené à l'avant du corps, au dessus de la tête, contient l'osphardium, la ou les branchies et reçoit les déchets du tubes digestif et des reins. Le sens de la circulation de l'eau évite aux déchets d'atteindre les branchies. L'évacuation de l'eau se fait différement selon le degré d'évolution. - chez les archéogastéropodes (symétrie des branchies) : évacuation en l'arrière de la cavité palléale, par une série de trous dans la coquille (ormeaux), par un trou dorsal unique (diodora) ou par une fente (pleurotomaire) - chez lez méso et néogastéropodes (unique branchie gauche) : évacuation par une circulation d'erau de la gauche vers la droite. La coquille Coquille unique plus ou moins spiralée qui subit une torsion (place/encombrement) au stade larvaire. Lors de la tension, la cavité palléale et les organes qu'elle abrite, situé à l'arrière chez l'archétype, passe à l'avant de l'animal : on parle alors de prosobranches. La torsion s'accompagne, le plus souvent, d'un enroulement de la coquille, ce qui permet d'allonger l'espace disponible à l'intérieur de la coquille, sans pour autant que la coquille soit trop encombrante en longueur et aussi de mieux répartir le poids de la coquille le long du corps de l'animal. La locomotion Le principal organe locomoteur est le pied. Les prosobranches se déplacent par reptation sur une sole pédieuse large et plate (contraction des muscles pédieux par ondes successives). La coquille peut participer au déplacement : les nasses l'agitent pour accélérer leur reptation. Les strombes utilisent leur opercule pour faire des sauts. Alimentation Il existe une très grande variété de régime alimentaire, la radula (unique critère d'identification de l'espèce) étant adaptée par le nombre et la forme des dents à ce régime alimentaire. l'évolution des radulas s'est faite dans le sens d'une diminution du nombre de dents. Les pleurotomaires ont jusqu'à 219 dents, les porcelaines en ont 7, les toxoglosses n'en ont plus qu'une. Ces derniers (cônidés, turridés, térébridés et cancellaridés) ont en commun la présence d'une glande venimeuse, de dents radulaires en harpon leur permettant de paralyser leurs proies. Reproduction - Animaux gonochoriques, c'est à dire un sexe par individu, d'où reproduction sexuée. - Hermaphrodisme successif (protérandique le plus souvent) chez de nombreux prosobranches. Exemple chez la crépidule (mâle d'abord puis femelle) Pour les archéogastéropodes : les gamètes sont libérés dans le milieu donc fécondation externe. Les plus évolués des prosobranches ont une fécondation interne avec dépot de pontes élaborées. Dans le cas particulier des espèces aphalliques (Cerithes, turitelles, janthines,...) il n'y a pas d'accouplement mais la féconadation reste interne, assurée par des spermatozeugma qui rentrent dans la cavité palléale de la femelle avec le courant d'eau inhalant. Prédateurs Etoiles de mer, poisson, crustacés, certains prosobranches (cones, natices), l'homme. Utilisation par l'homme Les coquillages marins ont toujours eu un rôle alimentaire (pêche à pieds ou commerciale) mais aussi religieux (Chank sacré de l'Inde), utilitaire (bouton de vêtement)... Danger du milieu marin Parmi 300 espèces de cônes, 20 possèdent un venin dangereux pour l'homme, et une dizaine sont mortels.Ils sont tropicaux, ce sont les conus geographus, conus tulipa, conus textile, conus straitus. Pour les indentifier : en vue ventrale, l'ouverture va en s'élargissant de la spire (l'arrière) vers l'avant pour les cônes « géographe et « tulipe ». Tous les autres cônes dangereux et/ou mortels présentent un dessin en forme de tente. Cette menace est à prendre très au sérieux. 2- Bivalves ou lamellibranches Coquille en deux parties, s'articulant sur une charnière par un ligament et des muscles. Animaux filtreurs. La respiration est assurée par des lamelles branchiales, tel que l'huître et la moule. En majorité fixés à l'age adultes : le bénitier, la moule, mais pas la coquille St Jacques par exemple. Larves libres avant de se fixer usur le substrat. Prédateurs : étoiles de mer, céphalopodes, mamifères... 3- Céphalopodes Des prédateurs très mobiles : - coquille allégée interne (os de seiche, plume de calamar) ou complètemet inexistante chez le poulpe, seule le nautile possède encore une coquille externe - un manteau prolongé par des bras : 8 chez les poulpes (Octopode), alors que les seiches et les calmars en possèdent 8 + 2 tentacules (Décapodes). - la bouche possède une radula et un bec qui peut être connecté à une poche à venin. - une poche à encre, situé au dessus de la cavité palléale. - trois cœur : un cœur central et deux décentralisés, un au niveau de chaque branchie. - un système circulatoire et nerveux évolué (les ganglions nerveux sont centralisés dans un cerveau) - des facultés mimétiquesextraordinaires. Les céphalopodes ont une durée de vie courte, un seule acte de reproduction (vit 1 à 3 ans) Se propulse en expulsant de l'eau par un siphon. Le Poulpe commun (Octopus vulgaris - Cuvier, 1797) appartient à la famille des Octopodidés. C'est un mollusque marin, carnivore et nageur appartenant à la classe des Céphalopodes (du grec kephalê, tète et pous, podos, pied). C'est une des 9 espèces présentes en Méditerranée. Ses bras réunis à la base par une membrane sont garnis de deux rangées de ventouses à leur face inférieure, ce qui le distingue du Poulpe musqué (Lamarck, 1799) qui ne possède qu'une seule rangée de ventouses. Doué de mimétisme, la coloration de son corps est changeante en fonction de son humeur, de l'environnement et des circonstances, passant du rouge au brun avec des nuances jaunes, bleues ou grises. Ses grands yeux placés sur le côté de la tête globuleuse possèdent un cristallin très performant. Il possède aussi un cerveau très évolué et fait preuve d'une certaine forme d'intelligence et aussi d'une grande curiosité qui cause parfois sa perte. 4- Chitons Animaux collés aux rochers. Vit sous les pierres exclusivement. Corps recouvert de huit plaques. Animaux brouteurs. 5- Scaphopodes 5- Solénogastres 6- Caudofovéates 7- Monoplacophores

    0 التعليقات:

    Enregistrer un commentaire