lundi 2 juin 2014

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Physiologie pathologique de l'appareil respiratoire (la taux)

By: Dr Vétérinaire On: 12:36
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  • Physiologie pathologique de l'appareil respiratoire

    1syndrome de la  toux
    1.1. Etiologie
    Chez toutes les espèces, la toux est le premier symptôme des affections du larynx, de la trachée et des bronches, de nature inflammatoire le plus fréquemment (aigue ou chronique).
    Chez le chien, la toux est un symptôme précoce de l’insuffisance cardiaque gauche avec oedéme pulmonaire
    Plus rarement, la toux révèle :
    -          une affection de la plèvre.
    -          une affection médiatisnale.
    Les pneumopathies chroniques ne sont tussigènes que lorsqu’elle entraîne des répercussions sur les bronchioles ou la plèvre
        
    1.2  Physio path de la toux
    L’acte de la toux comprend quatre temps
    - Une inspiration profonde permettant l’introduction d’air complémentaire dans les voies aériennes.
    - La fermeture de la glotte avec mise sous tension de l’air inspiré.
    - La brusque et violente expulsion de cet air  par contraction des muscles abdominaux mobilisation du diaphragme vers l’avant et béance (ouverture) de la glotte. C’est le temps majeurs et sonore de la toux au cours duquel les secrétions et les corps étrangers exogènes sont rejetés hors de l’appareil respiratoire
    - Une brève inspiration compensatrice : le rappel  
      1.3. Le   réflexe tussigène
     La toux est déclanchée par l’action de stimulus sur les zones tussigènes, l’excitation est transmise par le pneumogastrique jusqu’au centre de la toux situer   sur le plancher du 4 éme ventricule prés du centre principal du vomissement

    La voie centrifuge emprunte la moelle et les nerfs rachidiens moteurs des muscles abdominaux.

    Les stimulus sont très nombreux, il appartiennent à deux catégories principales :
    • Les modificateurs de l’air inspiré  (action du froid, les facteurs physiques et chimiques, les poussières et  vapeurs irritantes ….) succeptibles de déclancher la toux chez un individu sain.
    • Les modifications de la muqueuse respiratoire lors d’inflammation : sécheresse à la phase congestive initiale, secrétions diverses à la phase exsudative et au stade de chronicité.

    Les zones tussigènes sont nombreuses, de sensibilité variable entre elles et variable suivant l’espèce et l’age, il s’agit :
     -Essentiellement de la muqueuse laryngée, de la trachée, du carrefour trachéo-bronchique
     - Secondairement de la plèvre
     - Chez l’homme, éventuellement du médiastin, du péritoine, du conduit auditif externe.
     - enfin, lors de processus chronique, les remaniements de la muqueuse respiratoire peuvent créer de nouvelles zones tussigènes
    N B/ Il parait que la poumon ne comprend pas de zones tussigènes, par conséquent, les pneumonies et l’emphysème pulmonaire pur , ne sont pas générateurs de toux
    Toutefois, une lésion pulmonaire peut modifier les caractères initiaux d’une toux bronchique initialement forte et ample, devient secondairement faible, courte et sans rappel du fait du manque d’élasticité pulmonaire

    N B/ Dans l’appareil respiratoire supérieur, la sensibilité décroît au fur et à mesure que l’on s’éloigne des bronches souches, ce qui explique qu’un corps étranger peut déclancher un accès de toux lors de l’inhalation, puis rester silencieux jusqu'à ce qu’il se mobilise ou entraîne une inflammation locale.

    1.4 Lés caractères d’une toux
    Une distinction fondamentale s’impose entre toux sèche et toux humide
    -          toux séche : il s’agit d’une toux non productive ou non suivie d’expectorations, elle apparaît au début d’inflammation de l’appareil respiratoire supérieur  (phase congestive ) et au stade de chronicité , elle est douloureuse , inutile , et doit être enrayée par les anti tussifs .
    -          toux humide (grasse) : il s’agit d’une toux productive aboutissant à l’expulsion de secrétions, elle apparaît à la phase d’état catarrhale des affections respiratoires (laryngites, trachéite et bronchite ) , elle est utile et doit être favorisée par les fluidifiants des expectorants
    Les autres éléments caractéristiques d’une toux portent sur sa fréquence, son intensité et ses circonstances d’apparition.


    Description: Physiologie pathologique de l'appareil respiratoire 1syndrome de la toux 1.1. Etiologie Chez toutes les espèces, la toux est le premier symptôme des affections du larynx, de la trachée et des bronches, de nature inflammatoire le plus fréquemment (aigue ou chronique). Chez le chien, la toux est un symptôme précoce de l’insuffisance cardiaque gauche avec oedéme pulmonaire Plus rarement, la toux révèle : - une affection de la plèvre. - une affection médiatisnale. Les pneumopathies chroniques ne sont tussigènes que lorsqu’elle entraîne des répercussions sur les bronchioles ou la plèvre 1.2 Physio path de la toux L’acte de la toux comprend quatre temps - Une inspiration profonde permettant l’introduction d’air complémentaire dans les voies aériennes. - La fermeture de la glotte avec mise sous tension de l’air inspiré. - La brusque et violente expulsion de cet air par contraction des muscles abdominaux mobilisation du diaphragme vers l’avant et béance (ouverture) de la glotte. C’est le temps majeurs et sonore de la toux au cours duquel les secrétions et les corps étrangers exogènes sont rejetés hors de l’appareil respiratoire - Une brève inspiration compensatrice : le rappel 1.3. Le réflexe tussigène La toux est déclanchée par l’action de stimulus sur les zones tussigènes, l’excitation est transmise par le pneumogastrique jusqu’au centre de la toux situer sur le plancher du 4 éme ventricule prés du centre principal du vomissement La voie centrifuge emprunte la moelle et les nerfs rachidiens moteurs des muscles abdominaux. Les stimulus sont très nombreux, il appartiennent à deux catégories principales : Les modificateurs de l’air inspiré (action du froid, les facteurs physiques et chimiques, les poussières et vapeurs irritantes ….) succeptibles de déclancher la toux chez un individu sain. Les modifications de la muqueuse respiratoire lors d’inflammation : sécheresse à la phase congestive initiale, secrétions diverses à la phase exsudative et au stade de chronicité. Les zones tussigènes sont nombreuses, de sensibilité variable entre elles et variable suivant l’espèce et l’age, il s’agit : -Essentiellement de la muqueuse laryngée, de la trachée, du carrefour trachéo-bronchique - Secondairement de la plèvre - Chez l’homme, éventuellement du médiastin, du péritoine, du conduit auditif externe. - enfin, lors de processus chronique, les remaniements de la muqueuse respiratoire peuvent créer de nouvelles zones tussigènes N B/ Il parait que la poumon ne comprend pas de zones tussigènes, par conséquent, les pneumonies et l’emphysème pulmonaire pur , ne sont pas générateurs de toux Toutefois, une lésion pulmonaire peut modifier les caractères initiaux d’une toux bronchique initialement forte et ample, devient secondairement faible, courte et sans rappel du fait du manque d’élasticité pulmonaire N B/ Dans l’appareil respiratoire supérieur, la sensibilité décroît au fur et à mesure que l’on s’éloigne des bronches souches, ce qui explique qu’un corps étranger peut déclancher un accès de toux lors de l’inhalation, puis rester silencieux jusqu'à ce qu’il se mobilise ou entraîne une inflammation locale. 1.4 Lés caractères d’une toux Une distinction fondamentale s’impose entre toux sèche et toux humide - toux séche : il s’agit d’une toux non productive ou non suivie d’expectorations, elle apparaît au début d’inflammation de l’appareil respiratoire supérieur (phase congestive ) et au stade de chronicité , elle est douloureuse , inutile , et doit être enrayée par les anti tussifs . - toux humide (grasse) : il s’agit d’une toux productive aboutissant à l’expulsion de secrétions, elle apparaît à la phase d’état catarrhale des affections respiratoires (laryngites, trachéite et bronchite ) , elle est utile et doit être favorisée par les fluidifiants des expectorants Les autres éléments caractéristiques d’une toux portent sur sa fréquence, son intensité et ses circonstances d’apparition. Physiologie pathologique de l'appareil respiratoire 1syndrome de la toux 1.1. Etiologie Chez toutes les espèces, la toux est le premier symptôme des affections du larynx, de la trachée et des bronches, de nature inflammatoire le plus fréquemment (aigue ou chronique). Chez le chien, la toux est un symptôme précoce de l’insuffisance cardiaque gauche avec oedéme pulmonaire Plus rarement, la toux révèle : - une affection de la plèvre. - une affection médiatisnale. Les pneumopathies chroniques ne sont tussigènes que lorsqu’elle entraîne des répercussions sur les bronchioles ou la plèvre 1.2 Physio path de la toux L’acte de la toux comprend quatre temps - Une inspiration profonde permettant l’introduction d’air complémentaire dans les voies aériennes. - La fermeture de la glotte avec mise sous tension de l’air inspiré. - La brusque et violente expulsion de cet air par contraction des muscles abdominaux mobilisation du diaphragme vers l’avant et béance (ouverture) de la glotte. C’est le temps majeurs et sonore de la toux au cours duquel les secrétions et les corps étrangers exogènes sont rejetés hors de l’appareil respiratoire - Une brève inspiration compensatrice : le rappel 1.3. Le réflexe tussigène La toux est déclanchée par l’action de stimulus sur les zones tussigènes, l’excitation est transmise par le pneumogastrique jusqu’au centre de la toux situer sur le plancher du 4 éme ventricule prés du centre principal du vomissement La voie centrifuge emprunte la moelle et les nerfs rachidiens moteurs des muscles abdominaux. Les stimulus sont très nombreux, il appartiennent à deux catégories principales : Les modificateurs de l’air inspiré (action du froid, les facteurs physiques et chimiques, les poussières et vapeurs irritantes ….) succeptibles de déclancher la toux chez un individu sain. Les modifications de la muqueuse respiratoire lors d’inflammation : sécheresse à la phase congestive initiale, secrétions diverses à la phase exsudative et au stade de chronicité. Les zones tussigènes sont nombreuses, de sensibilité variable entre elles et variable suivant l’espèce et l’age, il s’agit : -Essentiellement de la muqueuse laryngée, de la trachée, du carrefour trachéo-bronchique - Secondairement de la plèvre - Chez l’homme, éventuellement du médiastin, du péritoine, du conduit auditif externe. - enfin, lors de processus chronique, les remaniements de la muqueuse respiratoire peuvent créer de nouvelles zones tussigènes N B/ Il parait que la poumon ne comprend pas de zones tussigènes, par conséquent, les pneumonies et l’emphysème pulmonaire pur , ne sont pas générateurs de toux Toutefois, une lésion pulmonaire peut modifier les caractères initiaux d’une toux bronchique initialement forte et ample, devient secondairement faible, courte et sans rappel du fait du manque d’élasticité pulmonaire N B/ Dans l’appareil respiratoire supérieur, la sensibilité décroît au fur et à mesure que l’on s’éloigne des bronches souches, ce qui explique qu’un corps étranger peut déclancher un accès de toux lors de l’inhalation, puis rester silencieux jusqu'à ce qu’il se mobilise ou entraîne une inflammation locale. 1.4 Lés caractères d’une toux Une distinction fondamentale s’impose entre toux sèche et toux humide - toux séche : il s’agit d’une toux non productive ou non suivie d’expectorations, elle apparaît au début d’inflammation de l’appareil respiratoire supérieur (phase congestive ) et au stade de chronicité , elle est douloureuse , inutile , et doit être enrayée par les anti tussifs . - toux humide (grasse) : il s’agit d’une toux productive aboutissant à l’expulsion de secrétions, elle apparaît à la phase d’état catarrhale des affections respiratoires (laryngites, trachéite et bronchite ) , elle est utile et doit être favorisée par les fluidifiants des expectorants Les autres éléments caractéristiques d’une toux portent sur sa fréquence, son intensité et ses circonstances d’apparition. Physiologie pathologique de l'appareil respiratoire 1syndrome de la toux 1.1. Etiologie Chez toutes les espèces, la toux est le premier symptôme des affections du larynx, de la trachée et des bronches, de nature inflammatoire le plus fréquemment (aigue ou chronique). Chez le chien, la toux est un symptôme précoce de l’insuffisance cardiaque gauche avec oedéme pulmonaire Plus rarement, la toux révèle : - une affection de la plèvre. - une affection médiatisnale. Les pneumopathies chroniques ne sont tussigènes que lorsqu’elle entraîne des répercussions sur les bronchioles ou la plèvre 1.2 Physio path de la toux L’acte de la toux comprend quatre temps - Une inspiration profonde permettant l’introduction d’air complémentaire dans les voies aériennes. - La fermeture de la glotte avec mise sous tension de l’air inspiré. - La brusque et violente expulsion de cet air par contraction des muscles abdominaux mobilisation du diaphragme vers l’avant et béance (ouverture) de la glotte. C’est le temps majeurs et sonore de la toux au cours duquel les secrétions et les corps étrangers exogènes sont rejetés hors de l’appareil respiratoire - Une brève inspiration compensatrice : le rappel 1.3. Le réflexe tussigène La toux est déclanchée par l’action de stimulus sur les zones tussigènes, l’excitation est transmise par le pneumogastrique jusqu’au centre de la toux situer sur le plancher du 4 éme ventricule prés du centre principal du vomissement La voie centrifuge emprunte la moelle et les nerfs rachidiens moteurs des muscles abdominaux. Les stimulus sont très nombreux, il appartiennent à deux catégories principales : Les modificateurs de l’air inspiré (action du froid, les facteurs physiques et chimiques, les poussières et vapeurs irritantes ….) succeptibles de déclancher la toux chez un individu sain. Les modifications de la muqueuse respiratoire lors d’inflammation : sécheresse à la phase congestive initiale, secrétions diverses à la phase exsudative et au stade de chronicité. Les zones tussigènes sont nombreuses, de sensibilité variable entre elles et variable suivant l’espèce et l’age, il s’agit : -Essentiellement de la muqueuse laryngée, de la trachée, du carrefour trachéo-bronchique - Secondairement de la plèvre - Chez l’homme, éventuellement du médiastin, du péritoine, du conduit auditif externe. - enfin, lors de processus chronique, les remaniements de la muqueuse respiratoire peuvent créer de nouvelles zones tussigènes N B/ Il parait que la poumon ne comprend pas de zones tussigènes, par conséquent, les pneumonies et l’emphysème pulmonaire pur , ne sont pas générateurs de toux Toutefois, une lésion pulmonaire peut modifier les caractères initiaux d’une toux bronchique initialement forte et ample, devient secondairement faible, courte et sans rappel du fait du manque d’élasticité pulmonaire N B/ Dans l’appareil respiratoire supérieur, la sensibilité décroît au fur et à mesure que l’on s’éloigne des bronches souches, ce qui explique qu’un corps étranger peut déclancher un accès de toux lors de l’inhalation, puis rester silencieux jusqu'à ce qu’il se mobilise ou entraîne une inflammation locale. 1.4 Lés caractères d’une toux Une distinction fondamentale s’impose entre toux sèche et toux humide - toux séche : il s’agit d’une toux non productive ou non suivie d’expectorations, elle apparaît au début d’inflammation de l’appareil respiratoire supérieur (phase congestive ) et au stade de chronicité , elle est douloureuse , inutile , et doit être enrayée par les anti tussifs . - toux humide (grasse) : il s’agit d’une toux productive aboutissant à l’expulsion de secrétions, elle apparaît à la phase d’état catarrhale des affections respiratoires (laryngites, trachéite et bronchite ) , elle est utile et doit être favorisée par les fluidifiants des expectorants Les autres éléments caractéristiques d’une toux portent sur sa fréquence, son intensité et ses circonstances d’apparition. Physiologie pathologique de l'appareil respiratoire 1syndrome de la toux 1.1. Etiologie Chez toutes les espèces, la toux est le premier symptôme des affections du larynx, de la trachée et des bronches, de nature inflammatoire le plus fréquemment (aigue ou chronique). Chez le chien, la toux est un symptôme précoce de l’insuffisance cardiaque gauche avec oedéme pulmonaire Plus rarement, la toux révèle : - une affection de la plèvre. - une affection médiatisnale. Les pneumopathies chroniques ne sont tussigènes que lorsqu’elle entraîne des répercussions sur les bronchioles ou la plèvre 1.2 Physio path de la toux L’acte de la toux comprend quatre temps - Une inspiration profonde permettant l’introduction d’air complémentaire dans les voies aériennes. - La fermeture de la glotte avec mise sous tension de l’air inspiré. - La brusque et violente expulsion de cet air par contraction des muscles abdominaux mobilisation du diaphragme vers l’avant et béance (ouverture) de la glotte. C’est le temps majeurs et sonore de la toux au cours duquel les secrétions et les corps étrangers exogènes sont rejetés hors de l’appareil respiratoire - Une brève inspiration compensatrice : le rappel 1.3. Le réflexe tussigène La toux est déclanchée par l’action de stimulus sur les zones tussigènes, l’excitation est transmise par le pneumogastrique jusqu’au centre de la toux situer sur le plancher du 4 éme ventricule prés du centre principal du vomissement La voie centrifuge emprunte la moelle et les nerfs rachidiens moteurs des muscles abdominaux. Les stimulus sont très nombreux, il appartiennent à deux catégories principales : Les modificateurs de l’air inspiré (action du froid, les facteurs physiques et chimiques, les poussières et vapeurs irritantes ….) succeptibles de déclancher la toux chez un individu sain. Les modifications de la muqueuse respiratoire lors d’inflammation : sécheresse à la phase congestive initiale, secrétions diverses à la phase exsudative et au stade de chronicité. Les zones tussigènes sont nombreuses, de sensibilité variable entre elles et variable suivant l’espèce et l’age, il s’agit : -Essentiellement de la muqueuse laryngée, de la trachée, du carrefour trachéo-bronchique - Secondairement de la plèvre - Chez l’homme, éventuellement du médiastin, du péritoine, du conduit auditif externe. - enfin, lors de processus chronique, les remaniements de la muqueuse respiratoire peuvent créer de nouvelles zones tussigènes N B/ Il parait que la poumon ne comprend pas de zones tussigènes, par conséquent, les pneumonies et l’emphysème pulmonaire pur , ne sont pas générateurs de toux Toutefois, une lésion pulmonaire peut modifier les caractères initiaux d’une toux bronchique initialement forte et ample, devient secondairement faible, courte et sans rappel du fait du manque d’élasticité pulmonaire N B/ Dans l’appareil respiratoire supérieur, la sensibilité décroît au fur et à mesure que l’on s’éloigne des bronches souches, ce qui explique qu’un corps étranger peut déclancher un accès de toux lors de l’inhalation, puis rester silencieux jusqu'à ce qu’il se mobilise ou entraîne une inflammation locale. 1.4 Lés caractères d’une toux Une distinction fondamentale s’impose entre toux sèche et toux humide - toux séche : il s’agit d’une toux non productive ou non suivie d’expectorations, elle apparaît au début d’inflammation de l’appareil respiratoire supérieur (phase congestive ) et au stade de chronicité , elle est douloureuse , inutile , et doit être enrayée par les anti tussifs . - toux humide (grasse) : il s’agit d’une toux productive aboutissant à l’expulsion de secrétions, elle apparaît à la phase d’état catarrhale des affections respiratoires (laryngites, trachéite et bronchite ) , elle est utile et doit être favorisée par les fluidifiants des expectorants Les autres éléments caractéristiques d’une toux portent sur sa fréquence, son intensité et ses circonstances d’apparition. Physiologie pathologique de l'appareil respiratoire 1syndrome de la toux 1.1. Etiologie Chez toutes les espèces, la toux est le premier symptôme des affections du larynx, de la trachée et des bronches, de nature inflammatoire le plus fréquemment (aigue ou chronique). Chez le chien, la toux est un symptôme précoce de l’insuffisance cardiaque gauche avec oedéme pulmonaire Plus rarement, la toux révèle : - une affection de la plèvre. - une affection médiatisnale. Les pneumopathies chroniques ne sont tussigènes que lorsqu’elle entraîne des répercussions sur les bronchioles ou la plèvre 1.2 Physio path de la toux L’acte de la toux comprend quatre temps - Une inspiration profonde permettant l’introduction d’air complémentaire dans les voies aériennes. - La fermeture de la glotte avec mise sous tension de l’air inspiré. - La brusque et violente expulsion de cet air par contraction des muscles abdominaux mobilisation du diaphragme vers l’avant et béance (ouverture) de la glotte. C’est le temps majeurs et sonore de la toux au cours duquel les secrétions et les corps étrangers exogènes sont rejetés hors de l’appareil respiratoire - Une brève inspiration compensatrice : le rappel 1.3. Le réflexe tussigène La toux est déclanchée par l’action de stimulus sur les zones tussigènes, l’excitation est transmise par le pneumogastrique jusqu’au centre de la toux situer sur le plancher du 4 éme ventricule prés du centre principal du vomissement La voie centrifuge emprunte la moelle et les nerfs rachidiens moteurs des muscles abdominaux. Les stimulus sont très nombreux, il appartiennent à deux catégories principales : Les modificateurs de l’air inspiré (action du froid, les facteurs physiques et chimiques, les poussières et vapeurs irritantes ….) succeptibles de déclancher la toux chez un individu sain. Les modifications de la muqueuse respiratoire lors d’inflammation : sécheresse à la phase congestive initiale, secrétions diverses à la phase exsudative et au stade de chronicité. Les zones tussigènes sont nombreuses, de sensibilité variable entre elles et variable suivant l’espèce et l’age, il s’agit : -Essentiellement de la muqueuse laryngée, de la trachée, du carrefour trachéo-bronchique - Secondairement de la plèvre - Chez l’homme, éventuellement du médiastin, du péritoine, du conduit auditif externe. - enfin, lors de processus chronique, les remaniements de la muqueuse respiratoire peuvent créer de nouvelles zones tussigènes N B/ Il parait que la poumon ne comprend pas de zones tussigènes, par conséquent, les pneumonies et l’emphysème pulmonaire pur , ne sont pas générateurs de toux Toutefois, une lésion pulmonaire peut modifier les caractères initiaux d’une toux bronchique initialement forte et ample, devient secondairement faible, courte et sans rappel du fait du manque d’élasticité pulmonaire N B/ Dans l’appareil respiratoire supérieur, la sensibilité décroît au fur et à mesure que l’on s’éloigne des bronches souches, ce qui explique qu’un corps étranger peut déclancher un accès de toux lors de l’inhalation, puis rester silencieux jusqu'à ce qu’il se mobilise ou entraîne une inflammation locale. 1.4 Lés caractères d’une toux Une distinction fondamentale s’impose entre toux sèche et toux humide - toux séche : il s’agit d’une toux non productive ou non suivie d’expectorations, elle apparaît au début d’inflammation de l’appareil respiratoire supérieur (phase congestive ) et au stade de chronicité , elle est douloureuse , inutile , et doit être enrayée par les anti tussifs . - toux humide (grasse) : il s’agit d’une toux productive aboutissant à l’expulsion de secrétions, elle apparaît à la phase d’état catarrhale des affections respiratoires (laryngites, trachéite et bronchite ) , elle est utile et doit être favorisée par les fluidifiants des expectorants Les autres éléments caractéristiques d’une toux portent sur sa fréquence, son intensité et ses circonstances d’apparition. Physiologie pathologique de l'appareil respiratoire 1syndrome de la toux 1.1. Etiologie Chez toutes les espèces, la toux est le premier symptôme des affections du larynx, de la trachée et des bronches, de nature inflammatoire le plus fréquemment (aigue ou chronique). Chez le chien, la toux est un symptôme précoce de l’insuffisance cardiaque gauche avec oedéme pulmonaire Plus rarement, la toux révèle : - une affection de la plèvre. - une affection médiatisnale. Les pneumopathies chroniques ne sont tussigènes que lorsqu’elle entraîne des répercussions sur les bronchioles ou la plèvre 1.2 Physio path de la toux L’acte de la toux comprend quatre temps - Une inspiration profonde permettant l’introduction d’air complémentaire dans les voies aériennes. - La fermeture de la glotte avec mise sous tension de l’air inspiré. - La brusque et violente expulsion de cet air par contraction des muscles abdominaux mobilisation du diaphragme vers l’avant et béance (ouverture) de la glotte. C’est le temps majeurs et sonore de la toux au cours duquel les secrétions et les corps étrangers exogènes sont rejetés hors de l’appareil respiratoire - Une brève inspiration compensatrice : le rappel 1.3. Le réflexe tussigène La toux est déclanchée par l’action de stimulus sur les zones tussigènes, l’excitation est transmise par le pneumogastrique jusqu’au centre de la toux situer sur le plancher du 4 éme ventricule prés du centre principal du vomissement La voie centrifuge emprunte la moelle et les nerfs rachidiens moteurs des muscles abdominaux. Les stimulus sont très nombreux, il appartiennent à deux catégories principales : Les modificateurs de l’air inspiré (action du froid, les facteurs physiques et chimiques, les poussières et vapeurs irritantes ….) succeptibles de déclancher la toux chez un individu sain. Les modifications de la muqueuse respiratoire lors d’inflammation : sécheresse à la phase congestive initiale, secrétions diverses à la phase exsudative et au stade de chronicité. Les zones tussigènes sont nombreuses, de sensibilité variable entre elles et variable suivant l’espèce et l’age, il s’agit : -Essentiellement de la muqueuse laryngée, de la trachée, du carrefour trachéo-bronchique - Secondairement de la plèvre - Chez l’homme, éventuellement du médiastin, du péritoine, du conduit auditif externe. - enfin, lors de processus chronique, les remaniements de la muqueuse respiratoire peuvent créer de nouvelles zones tussigènes N B/ Il parait que la poumon ne comprend pas de zones tussigènes, par conséquent, les pneumonies et l’emphysème pulmonaire pur , ne sont pas générateurs de toux Toutefois, une lésion pulmonaire peut modifier les caractères initiaux d’une toux bronchique initialement forte et ample, devient secondairement faible, courte et sans rappel du fait du manque d’élasticité pulmonaire N B/ Dans l’appareil respiratoire supérieur, la sensibilité décroît au fur et à mesure que l’on s’éloigne des bronches souches, ce qui explique qu’un corps étranger peut déclancher un accès de toux lors de l’inhalation, puis rester silencieux jusqu'à ce qu’il se mobilise ou entraîne une inflammation locale. 1.4 Lés caractères d’une toux Une distinction fondamentale s’impose entre toux sèche et toux humide - toux séche : il s’agit d’une toux non productive ou non suivie d’expectorations, elle apparaît au début d’inflammation de l’appareil respiratoire supérieur (phase congestive ) et au stade de chronicité , elle est douloureuse , inutile , et doit être enrayée par les anti tussifs . - toux humide (grasse) : il s’agit d’une toux productive aboutissant à l’expulsion de secrétions, elle apparaît à la phase d’état catarrhale des affections respiratoires (laryngites, trachéite et bronchite ) , elle est utile et doit être favorisée par les fluidifiants des expectorants Les autres éléments caractéristiques d’une toux portent sur sa fréquence, son intensité et ses circonstances d’apparition. Physiologie pathologique de l'appareil respiratoire 1syndrome de la toux 1.1. Etiologie Chez toutes les espèces, la toux est le premier symptôme des affections du larynx, de la trachée et des bronches, de nature inflammatoire le plus fréquemment (aigue ou chronique). Chez le chien, la toux est un symptôme précoce de l’insuffisance cardiaque gauche avec oedéme pulmonaire Plus rarement, la toux révèle : - une affection de la plèvre. - une affection médiatisnale. Les pneumopathies chroniques ne sont tussigènes que lorsqu’elle entraîne des répercussions sur les bronchioles ou la plèvre 1.2 Physio path de la toux L’acte de la toux comprend quatre temps - Une inspiration profonde permettant l’introduction d’air complémentaire dans les voies aériennes. - La fermeture de la glotte avec mise sous tension de l’air inspiré. - La brusque et violente expulsion de cet air par contraction des muscles abdominaux mobilisation du diaphragme vers l’avant et béance (ouverture) de la glotte. C’est le temps majeurs et sonore de la toux au cours duquel les secrétions et les corps étrangers exogènes sont rejetés hors de l’appareil respiratoire - Une brève inspiration compensatrice : le rappel 1.3. Le réflexe tussigène La toux est déclanchée par l’action de stimulus sur les zones tussigènes, l’excitation est transmise par le pneumogastrique jusqu’au centre de la toux situer sur le plancher du 4 éme ventricule prés du centre principal du vomissement La voie centrifuge emprunte la moelle et les nerfs rachidiens moteurs des muscles abdominaux. Les stimulus sont très nombreux, il appartiennent à deux catégories principales : Les modificateurs de l’air inspiré (action du froid, les facteurs physiques et chimiques, les poussières et vapeurs irritantes ….) succeptibles de déclancher la toux chez un individu sain. Les modifications de la muqueuse respiratoire lors d’inflammation : sécheresse à la phase congestive initiale, secrétions diverses à la phase exsudative et au stade de chronicité. Les zones tussigènes sont nombreuses, de sensibilité variable entre elles et variable suivant l’espèce et l’age, il s’agit : -Essentiellement de la muqueuse laryngée, de la trachée, du carrefour trachéo-bronchique - Secondairement de la plèvre - Chez l’homme, éventuellement du médiastin, du péritoine, du conduit auditif externe. - enfin, lors de processus chronique, les remaniements de la muqueuse respiratoire peuvent créer de nouvelles zones tussigènes N B/ Il parait que la poumon ne comprend pas de zones tussigènes, par conséquent, les pneumonies et l’emphysème pulmonaire pur , ne sont pas générateurs de toux Toutefois, une lésion pulmonaire peut modifier les caractères initiaux d’une toux bronchique initialement forte et ample, devient secondairement faible, courte et sans rappel du fait du manque d’élasticité pulmonaire N B/ Dans l’appareil respiratoire supérieur, la sensibilité décroît au fur et à mesure que l’on s’éloigne des bronches souches, ce qui explique qu’un corps étranger peut déclancher un accès de toux lors de l’inhalation, puis rester silencieux jusqu'à ce qu’il se mobilise ou entraîne une inflammation locale. 1.4 Lés caractères d’une toux Une distinction fondamentale s’impose entre toux sèche et toux humide - toux séche : il s’agit d’une toux non productive ou non suivie d’expectorations, elle apparaît au début d’inflammation de l’appareil respiratoire supérieur (phase congestive ) et au stade de chronicité , elle est douloureuse , inutile , et doit être enrayée par les anti tussifs . - toux humide (grasse) : il s’agit d’une toux productive aboutissant à l’expulsion de secrétions, elle apparaît à la phase d’état catarrhale des affections respiratoires (laryngites, trachéite et bronchite ) , elle est utile et doit être favorisée par les fluidifiants des expectorants Les autres éléments caractéristiques d’une toux portent sur sa fréquence, son intensité et ses circonstances d’apparition. Physiologie pathologique de l'appareil respiratoire 1syndrome de la toux 1.1. Etiologie Chez toutes les espèces, la toux est le premier symptôme des affections du larynx, de la trachée et des bronches, de nature inflammatoire le plus fréquemment (aigue ou chronique). Chez le chien, la toux est un symptôme précoce de l’insuffisance cardiaque gauche avec oedéme pulmonaire Plus rarement, la toux révèle : - une affection de la plèvre. - une affection médiatisnale. Les pneumopathies chroniques ne sont tussigènes que lorsqu’elle entraîne des répercussions sur les bronchioles ou la plèvre 1.2 Physio path de la toux L’acte de la toux comprend quatre temps - Une inspiration profonde permettant l’introduction d’air complémentaire dans les voies aériennes. - La fermeture de la glotte avec mise sous tension de l’air inspiré. - La brusque et violente expulsion de cet air par contraction des muscles abdominaux mobilisation du diaphragme vers l’avant et béance (ouverture) de la glotte. C’est le temps majeurs et sonore de la toux au cours duquel les secrétions et les corps étrangers exogènes sont rejetés hors de l’appareil respiratoire - Une brève inspiration compensatrice : le rappel 1.3. Le réflexe tussigène La toux est déclanchée par l’action de stimulus sur les zones tussigènes, l’excitation est transmise par le pneumogastrique jusqu’au centre de la toux situer sur le plancher du 4 éme ventricule prés du centre principal du vomissement La voie centrifuge emprunte la moelle et les nerfs rachidiens moteurs des muscles abdominaux. Les stimulus sont très nombreux, il appartiennent à deux catégories principales : Les modificateurs de l’air inspiré (action du froid, les facteurs physiques et chimiques, les poussières et vapeurs irritantes ….) succeptibles de déclancher la toux chez un individu sain. Les modifications de la muqueuse respiratoire lors d’inflammation : sécheresse à la phase congestive initiale, secrétions diverses à la phase exsudative et au stade de chronicité. Les zones tussigènes sont nombreuses, de sensibilité variable entre elles et variable suivant l’espèce et l’age, il s’agit : -Essentiellement de la muqueuse laryngée, de la trachée, du carrefour trachéo-bronchique - Secondairement de la plèvre - Chez l’homme, éventuellement du médiastin, du péritoine, du conduit auditif externe. - enfin, lors de processus chronique, les remaniements de la muqueuse respiratoire peuvent créer de nouvelles zones tussigènes N B/ Il parait que la poumon ne comprend pas de zones tussigènes, par conséquent, les pneumonies et l’emphysème pulmonaire pur , ne sont pas générateurs de toux Toutefois, une lésion pulmonaire peut modifier les caractères initiaux d’une toux bronchique initialement forte et ample, devient secondairement faible, courte et sans rappel du fait du manque d’élasticité pulmonaire N B/ Dans l’appareil respiratoire supérieur, la sensibilité décroît au fur et à mesure que l’on s’éloigne des bronches souches, ce qui explique qu’un corps étranger peut déclancher un accès de toux lors de l’inhalation, puis rester silencieux jusqu'à ce qu’il se mobilise ou entraîne une inflammation locale. 1.4 Lés caractères d’une toux Une distinction fondamentale s’impose entre toux sèche et toux humide - toux séche : il s’agit d’une toux non productive ou non suivie d’expectorations, elle apparaît au début d’inflammation de l’appareil respiratoire supérieur (phase congestive ) et au stade de chronicité , elle est douloureuse , inutile , et doit être enrayée par les anti tussifs . - toux humide (grasse) : il s’agit d’une toux productive aboutissant à l’expulsion de secrétions, elle apparaît à la phase d’état catarrhale des affections respiratoires (laryngites, trachéite et bronchite ) , elle est utile et doit être favorisée par les fluidifiants des expectorants Les autres éléments caractéristiques d’une toux portent sur sa fréquence, son intensité et ses circonstances d’apparition.

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